Dans le cadre de la modernisation du Port de Trinité sur Mer (56), ArkoGéos a procédé à une investigation géophysique par sismique réfraction marine à partir de dispositifs de 120 m (24 hydrophones) avec une source de type canon à air.
Dans le cadre d’un projet de restructuration et de sécurisation de la chaîne de transfert des eaux usées d’un poste de relevage jusqu’à une station d’épuration, Arkogeos a réalisé une prospection géophysique par panneau électrique afin d’aider à imager le sous-sol jusqu’à une profondeur de 50 m environ, au droit de la traversée de la rivière d’Auray (56).
En pratique fut mis en œuvre des moyens nautiques et terrestres et beaucoup de savoir-faire pour installer deux lignes de 475m et 535m, de respectivement 96 et 108 électrodes à travers vents et marées.
ArkoGéos a réalisé une reconnaissance géophysique par méthodes géoradar (antennes GSSI : 200MHz, 400Mhz et 900MHz) et électromagnétique Slingram (CMDexplorer) dans le cadre du diagnostic de la digue côtière SNCF sur la commune de Châtelaillon (17).
Le but de cette prospection est de mettre en évidence des hétérogénéités dans la digue maçonnée avec le géoradar et dans la contre-digue en remblai avec la méthode électromagnétique.
2022, ce fut près de 900 tirs, 550 traces actives enregistrées pour un total de 2 500 m de sismique Haute Résolution et Très Haute Résolution, pour cartographier des objectifs compris entre 25 et 250 m de profondeur. Ces objectifs étaient multiples : recherche en eau, caractérisation de gisements, problématiques géotechniques et géologiques (localisation de vides, de failles).
Dans le cadre d’une étude sur le site de la Saline d’Oraas (64) visant à mieux reconnaître la limite Est d’un diapir de sel (contact diapir/brèches/flysch) jusqu’à une profondeur de 200 m,
ARKOGEOS a réalisé une intervention géophysique par sismique réflexion très haute résolution (THR) selon 2 lignes de 96 capteurs 28Hz espacés de 4m et plus de 290 tirs d’explosif.
